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CONSOMMATEUR

LES EDULCORANTS

L’aspartame et les risques nutritionnels des édulcorants intenses. De nouvelles études scientifiques ont été récemment publiées sur d’éventuels effets qui pourraient être attribués à l’aspartame ou à des boissons contenant des édulcorants alimentaires dont l’aspartame. L’une est italienne. Cette  étude a été réalisée chez la souris sur le lien entre l’aspartame et l’incidence de certaines tumeurs chez ces animaux. L’autre étude  est danoise et porte sur une association entre la consommation de boissons édulcorés et le risque d’accouchement prématuré induit.


La première étude rapporte une augmentation de l’incidence chez la souris après administration de très fortes doses d’aspartame tout le long de la vie de l’animal. La seconde étude a été réalisée sur 60.000 femmes enceintes sur une base statistique.

L’ANSES estime que ces deux études n’apportent pas de bases scientifiques suffisantes pour une réévaluation de l’aspartame au plan toxicologique car l’étude italienne ne permet pas de transposer les effets observés chez  l’homme , tandis que L’étude danoise ne permet pas d’établir de lien de cause à effet entre la consommation de boissons édulcoré et l’augmentation de risque d’accouchement prématuré

Les différentes évaluations réalisées au niveau international (OMS) ,européen (EFSA) et américain (FDA) ont conclu à la sécurité de l’emploi de l’aspartame et ont fixé une dose journalière admissible à 40 mg/PAR KG de poids corporel par jour. S’il  semble ,au regard d’un premier examen, que les deux nouvelles études récemment publiées ne permettent pas de fonder d’éventuelles évolutions dans les recommandations de consommation des édulcorants, elles invitent néanmoins à des travaux scientifiques complémentaires.



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